La Confédération Mer et Liberté auditionnée par des députés du groupe Chasse et Pêche de l'Assemblée nationale
De gauche à droite : Jean-Michel Brard (secrétaire groupe d'études chasse et pêche), Patrick Zimmermann (vice-président Confédération Mer & Liberté), Jean Mitsialis (co-président Confédération Mer & Liberté), Louis Penhouët (vice-président Confédération Mer & Liberté), Christophe Blanchet (co-président groupe d'études chasse et pêche), Pierre Cordier (vice-président groupe d'études chasse et pêche), Daniel Labaronne (co-président groupe d'études chasse et pêche) et Daniel Grenon (membres groupe d'études chasse et pêche).
Le 25 juin, la Confédération Mer et Liberté représentée par le co-président Jean Mitsialis, le vice-président Louis Penhouët, le vice-président Patrick Zimmermann a été auditionnée par des députés du groupe Chasse et Pêche de l’Assemblée nationale en vue de mieux faire comprendre les préoccupations…

Par Patrick Zimmermann | Confédération Mer & Liberté

La Confédération Mer et Liberté auditionnée par des députés du groupe Chasse et Pêche de l’Assemblée nationale

Le 25 juin, la Confédération Mer et Liberté représentée par le co-président Jean Mitsialis, le vice-président Louis Penhouët, le vice-président Patrick Zimmermann a été auditionnée par des députés du groupe Chasse et Pêche de l’Assemblée nationale en vue de mieux faire comprendre les préoccupations de la pêche de loisir en mer.
Cette audition a été fructueuse et ont été abordés, en tout premier lieu :

  • le poids de notre passion sur la ressource halieutique ;
  • les obligations de déclarations de capture en 2026 ;
  • l’enregistrement du pêcheur ;
  • la demande d’une meilleure intégration de notre confédération dans les instances de régulation (dialogue avec le ministère) et scientifiques (Ifremer notamment mais aussi au niveau européen) ;
  • l’interdiction de l’utilisation du plomb dans les années à venir, selon des modalités inacceptables ;
  • le poids de la pêche de loisir sur le plan économique (500 000 bateaux, plus de 2 Md€) mais aussi électoral (quelques millions de votants).

L’image que les députés ont emmené à l’issue de cette audition est que la pêche de loisir est à la pêche professionnelle ce que le jardin familial est à la culture maraichère.